L’élégance de la grande tradition italienne. Des lys bretons et des hermines ornent ce beau mortier.
Remarques
Le mortier d’origine permet de réaliser un moule en caoutchouc de silicone et plâtre à partir duquel une cire est réalisée. Les canaux de coulée sont ensuite fixés en insérant les clous d’écartement. La pièce ainsi assemblée est ensuite recouverte d’une terre de coulée spéciale. Après le séchage, qui nécessite quelques jours, la pièce est cuite dans un four où la cire s’évapore. L’étape suivante consiste à couler le métal qui, une fois refroidi et après démoulage, commence à être travaillé. Une fois les canaux de coulée réalisés, on passe à la ciselure et au vieillissement qui est effectué à l’aide de produits spécifiques pour métaux.
Le mortier dérive d’une pièce originale française en bronze, produite au XVIIe siècle comme bouche de feu d’artifice et utilisé par la suite comme mortier de pharmacie. Le prolongement à la base, qui servait initialement à positionner la mèche, était utilisée dans l’atelier de l’apothicaire pour recueillir les sucs qui pouvaient s’écouler lors du broyage.
L’œuvre a été réalisée par des maîtres fondeurs et est une copie fidèle, dans sa forme et sa décoration, de l’original conservé à Aboca Museum. Le projet d’Aboca, qui vise à explorer le lien profond entre l’homme et la nature, comprend la récupération et la reprise de techniques artisanales antiques et habiles. C’est pourquoi la production des objets est confiée à des maîtres-artisans experts, capables de renouveler la tradition séculaire qui a contribué à diffuser le nom de l’Italie dans le monde entier.
Chaque exemplaire est accompagné d’un certificat de garantie.
Fabrication
Le mortier d’origine permet de réaliser un moule en caoutchouc de silicone et plâtre à partir duquel une cire est réalisée. Les canaux de coulée sont ensuite fixés en insérant les clous d’écartement. La pièce ainsi assemblée est ensuite recouverte d’une terre de coulée spéciale. Après le séchage, qui nécessite quelques jours, la pièce est cuite dans un four où la cire s’évapore. L’étape suivante consiste à couler le métal qui, une fois refroidi et après démoulage, commence à être travaillé. Une fois les canaux de coulée réalisés, on passe à la ciselure et au vieillissement qui est effectué à l’aide de produits spécifiques pour métaux.
L’élégance de la grande tradition italienne. Des lys bretons et des hermines ornent ce beau mortier.
Remarques
Le mortier d’origine permet de réaliser un moule en caoutchouc de silicone et plâtre à partir duquel une cire est réalisée. Les canaux de coulée sont ensuite fixés en insérant les clous d’écartement. La pièce ainsi assemblée est ensuite recouverte d’une terre de coulée spéciale. Après le séchage, qui nécessite quelques jours, la pièce est cuite dans un four où la cire s’évapore. L’étape suivante consiste à couler le métal qui, une fois refroidi et après démoulage, commence à être travaillé. Une fois les canaux de coulée réalisés, on passe à la ciselure et au vieillissement qui est effectué à l’aide de produits spécifiques pour métaux.
Le mortier dérive d’une pièce originale française en bronze, produite au XVIIe siècle comme bouche de feu d’artifice et utilisé par la suite comme mortier de pharmacie. Le prolongement à la base, qui servait initialement à positionner la mèche, était utilisée dans l’atelier de l’apothicaire pour recueillir les sucs qui pouvaient s’écouler lors du broyage.
L’œuvre a été réalisée par des maîtres fondeurs et est une copie fidèle, dans sa forme et sa décoration, de l’original conservé à Aboca Museum. Le projet d’Aboca, qui vise à explorer le lien profond entre l’homme et la nature, comprend la récupération et la reprise de techniques artisanales antiques et habiles. C’est pourquoi la production des objets est confiée à des maîtres-artisans experts, capables de renouveler la tradition séculaire qui a contribué à diffuser le nom de l’Italie dans le monde entier.
Chaque exemplaire est accompagné d’un certificat de garantie.
Fabrication
Le mortier d’origine permet de réaliser un moule en caoutchouc de silicone et plâtre à partir duquel une cire est réalisée. Les canaux de coulée sont ensuite fixés en insérant les clous d’écartement. La pièce ainsi assemblée est ensuite recouverte d’une terre de coulée spéciale. Après le séchage, qui nécessite quelques jours, la pièce est cuite dans un four où la cire s’évapore. L’étape suivante consiste à couler le métal qui, une fois refroidi et après démoulage, commence à être travaillé. Une fois les canaux de coulée réalisés, on passe à la ciselure et au vieillissement qui est effectué à l’aide de produits spécifiques pour métaux.